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15 mars 2023 3 15 /03 /mars /2023 09:39

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Gustave Caillebotte, Autoportrait, v. 1889, Orsay

 

Grand succès pour cette première conférence organisée par LesArts57 à l’Espace Philippe de Vigneulles à Lorry, présentée par Catherine BOURDIEU, maîtresse de conférences en histoire de l'art à l'Université de Lorraine.

Elle a enthousiasmé les 83 personnes, venues découvrir l’œuvre et la personnalité si intéressante de Gustave Caillebotte, (1848-1894), peintre, collectionneur et généreux mécène. En écho à l’actualité, le thème de cette rencontre a été choisi à l’occasion de l’acquisition par le Musée d’Orsay du tableau Partie de bateau.  

Partie de bateau, 1877-78, Orsay.

Partie de bateau, 1877-78, Orsay.

Ce tableau aussi appelé Le Canotier au chapeau haut de forme, vient d’être acquis par le musée d’Orsay pour 34 millions d’euros. Le personnage, rame dans une barque sur la Yerres, rivière située tout près de la maison familiale des Caillebotte au sud-est de Paris. Cadrage original, le point de vue du peintre est placé dans la barque, si bien que nous avons l’impression de naviguer avec le rameur. La gamme colorée, fondée sur les bleus, et la touche libre appartiennent à la peinture de plein air. Le sujet jugé très banal, et la composition inhabituelle, provoquent la désapprobation des critiques lors de la présentation du tableau à la 4e exposition du groupe impressionniste.

 

à Paris en 1848 dans une famille aisée, Gustave Caillebotte obtient une licence de droit en 1870. Il participe à la défense de Paris pendant la guerre franco-prussienne.

Route à Naples, 1872, coll. part.

 

En 1872, au cours d’un voyage en Italie, il peint Route à Naples. L’attelage est arrêté sur un chemin poussiéreux dans la plaine. Au loin, le Vésuve. Le jeune artiste maitrise déjà le coloris : noir du cheval et blanc du chemin qui vibrent sous le soleil intense, l’ombre de l’animal est courte et foncée. La perspective, créée par une longue ligne oblique, et l’isolement des figures sont aussi déjà bien représentés.

 

De retour à Paris, il travaille dans l’atelier de Léon Bonnat, peintre académique très réputé, spécialiste des scènes de genre et portraitiste immensément célèbre qui apporte une grande culture artistique à ses élèves. Degas, l’ami de Bonnat, le met en relation avec les impressionnistes. En 1872, Caillebotte entre à l’Ecole des Beaux-Arts. Deux ans plus tard, son père meurt et lègue une grande fortune à sa femme et ses fils. Ses frères René (1851-1876) et Martial (1854-1910) servent de modèle, respectivement dans le Jeune homme à la fenêtre et Jeune homme au piano.

Jeune homme à la fenêtre, 1876, Los Angeles --- Jeune homme au piano,1876, Tokyo

René meurt à l’âge de 25 ans. Martial, musicien et photographe partage avec Gustave la même passion pour la philatélie, ils commencent une collection de timbres du monde entier, qu’ils revendront très avantageusement à un grand philatéliste anglais et qui est conservée aujourd’hui à la British Library.

En 1876, Renoir incite Caillebotte à participer à la 2e exposition impressionniste. Les deux hommes nouent des liens d’amitié. Caillebotte lui achète Le Bal du moulin de la Galette. Renoir représente Caillebotte dans Les canotiers à Chatou et au premier plan dans le Déjeuner des Canotiers dont la scène se situe à la terrasse du restaurant Fournaise à Chatou devenu maintenant un musée.

Auguste Renoir, Le Bal du moulin de la Galette, Orsay. --- Les Canotiers à Chatou, 1879, Washington. Déjeuner des Canotiers, 1881, Washington. --- Portrait de Charlotte Berthier, 1883 --- Portait de Jean et Geneviève Caillebotte, 1885, coll. part.
Auguste Renoir, Le Bal du moulin de la Galette, Orsay. --- Les Canotiers à Chatou, 1879, Washington. Déjeuner des Canotiers, 1881, Washington. --- Portrait de Charlotte Berthier, 1883 --- Portait de Jean et Geneviève Caillebotte, 1885, coll. part.
Auguste Renoir, Le Bal du moulin de la Galette, Orsay. --- Les Canotiers à Chatou, 1879, Washington. Déjeuner des Canotiers, 1881, Washington. --- Portrait de Charlotte Berthier, 1883 --- Portait de Jean et Geneviève Caillebotte, 1885, coll. part.
Auguste Renoir, Le Bal du moulin de la Galette, Orsay. --- Les Canotiers à Chatou, 1879, Washington. Déjeuner des Canotiers, 1881, Washington. --- Portrait de Charlotte Berthier, 1883 --- Portait de Jean et Geneviève Caillebotte, 1885, coll. part.
Auguste Renoir, Le Bal du moulin de la Galette, Orsay. --- Les Canotiers à Chatou, 1879, Washington. Déjeuner des Canotiers, 1881, Washington. --- Portrait de Charlotte Berthier, 1883 --- Portait de Jean et Geneviève Caillebotte, 1885, coll. part.

Auguste Renoir, Le Bal du moulin de la Galette, Orsay. --- Les Canotiers à Chatou, 1879, Washington. Déjeuner des Canotiers, 1881, Washington. --- Portrait de Charlotte Berthier, 1883 --- Portait de Jean et Geneviève Caillebotte, 1885, coll. part.

Renoir passe l’été 1881 avec la famille Caillebotte et réalise le portrait de la compagne de Gustave, Charlotte. Caillebotte devient le parrain de Pierre, fils ainé de Renoir né en 1885. Renoir est aussi l’exécuteur testamentaire de Caillebotte en 1894. Il peint les enfants de Martial Caillebotte, Jean et Geneviève, en 1895.

Le jury du salon officiel ne retenant jamais leurs œuvresles impressionnistes créent la Société anonyme coopérative des artistes peintres, sculpteurs et graveurs, en 1873. Ce collectif d’artistes va organiser leurs expositions. Parmi eux, il y a Eugène Boudin, Cézanne, Degas, Monet, Berthe Morisot, Pissarro, Renoir, et Sisley. A la 2ème exposition, galerie Paul Durand-Ruel, Caillebotte expose 8 tableaux parmi lesquels les deux versions des Raboteurs de parquet, Jeune homme jouant du piano et Jeune homme à la fenêtre

Les raboteurs de parquet, 1875, Orsay. --- Raboteurs de parquet, 1876, coll. part.

Ce sont de rares tableaux de l’époque représentant les ouvriers des villes avec autant de précision, le monde paysan lui est régulièrement pris pour sujet. Vue en contre plongée et cadrage toujours original.

1878, 3e exposition du groupe : Caillebotte s’applique à faire de cette exposition un véritable événement artistique. Il sollicite les peintres, choisit et loue le lieu d’exposition, choisit les tentures pour agrémenter les pièces… Il réalise la maquette du catalogue de l’exposition, envoie les invitations, accroche les tableaux avec Renoir et finance les publicités dans la presse. Lui-même expose 6 tableaux et en prête 8 de sa collection, Degas, Monet, Pissarro, Renoir ! Il participe encore en 1879 et 1880 et 1882 mais des tensions sont apparues au sein du groupe.

La leçon de piano, vers 1879, musée Marmottan. --- Chrysanthèmes blancs et jaunes, 1893, musée Marmottan. --- L’homme au balcon, vers 1880, coll part.

Dans ses portraits, Caillebotte illustre la vie bourgeoise de son temps qu’il connait bien.

La partie de bésigue, 1880, Louvre Abou Dhabi.

Composition très resserrée dans la leçon de piano, environnement élégant, la professeure à droite bat la mesure. Ces deux femmes ne sont pas identifiées. Il offre ce tableau à Monet qui ne s’en est jamais séparé. Chrysanthèmes blancs et jaunes est le cadeau offert par Caillebotte pour le mariage de Monet, dont il est le témoin. L’homme au balcon n’est autre qu’un ami d’enfance Maurice Brault, passionné comme lui par la construction navale, sur le balcon du l’appartement du boulevard Haussmann. Dans La partie de bésigue, il représente des amis et Martial, son frère, à droite.

 

Caillebotte a représenté de nombreuses vues de Paris, vues directes ou indirectes, vues d’en haut, vues dans les rues, avec des personnages.

Le Pont de l’Europe, 1876, Genève, Petit Palais.

Sur ce tableau, le pont de fer, puissant et monumental contraste avec les immeubles haussmanniens du fond, rétrécis par l’éloignement alors qu’ils sont imposants en réalité. Le traitement de la perspective est original et étonnant : toutes les lignes obliques convergent vers le chapeau haut de forme :   ligne du trottoir, dos du chien, géométrie du pont et immeubles en arrière-plan : le point de fuite est décentré. L’exemple de Manet est perceptible dans le parti réaliste et la facture lisse de la toile.

Sur le pont de l’Europe, 1876, Fort Worth, Texas. --- Rue de Paris, temps de pluie, 1877, Chicago. --- Vues de toits. Effets de neige, 1878, Orsay.

Sur cette autre vue du pont de l’Europe, Caillebotte décrit soigneusement l’agencement des pièces métalliques du pont mais, par l’intermédiaire de l’homme qui flâne, il attire aussi notre attention sur la gare St-Lazare, dont on devine l’activité. Le thème du flâneur a aussi été développé par Manet. Rue de Paris, temps de pluie, est reconnu comme un des tableaux majeurs du peintre, et reste dans la veine réaliste.

L’homme au balcon, boulevard Haussmann, 1880, coll part. --- Vue à travers un balcon, 1880, Amsterdam. --- Le boulevard vu d’en haut, 1880, coll part.

Cet homme sur le balcon observe le boulevard Haussmann. Caillebotte peint en intérieur un spectacle extérieur. Luminosité un peu atténuée dedans, le soleil illumine arbres et façades dehors. La jolie balustrade du balcon et le store rayé apportent du dynamisme au coloris. Sur la Vue à travers un balcon, la balustrade devient l’élément essentiel. A travers les volutes, on voit un fiacre qui passe dans la rue. Point de vue très étonnant à nouveau, on ne sait ce qui est le plus important. Autre fantaisie, Le boulevard vu d’en haut, offre une vue plongeante vertigineuse depuis le 3e étage de l’immeuble. Choix de cadrage où la ligne oblique du trottoir coupe la toile de manière insolite. Les passants sont représentés par des raccourcis extrêmes et le feuillage printanier de l’arbre, encore discret, apporte beaucoup de fraîcheur.

Les orangers, 1878, Houston.

 

La famille Caillebotte possède un domaine familial de 11 ha à Yerres, non loin de la rivière ce qui permet à Gustave de pratiquer le jardinage et les activités nautiques, ses deux passions. 

A l’ombre d’arbustes en bacs, coiffé d’un chapeau de paille, Martial, le frère du peintre, assis de dos, lit. Sous l’oranger, la jeune fille est Zoé, leur cousine. Au fond, dans l’allée au soleil, un chien fait la sieste. Le mobilier de jardin est l’œuvre de François Carré, créé en 1866 et très répandu pendant très longtemps.

L’Yerres, effet de pluie, 1875, Indiana.

 

 

Tableau très original encore, Caillebotte s’attarde sur les impacts des gouttes d’eau sur la rivière, représentés par des cercles de dimensions variées. Composition en strates superposées en biais, appel de couleurs entre le chemin sur la berge au premier plan et l’autre berge où est amarrée une barque. Entre les deux, la rivière où se reflètent les troncs des arbres, thème purement impressionniste.

En 1876, Caillebotte devient membre du Cercle de la voile de Paris, au Petit Gennevilliers, situé en face d’Argenteuil, comme Monet, Renoir et Sisley avant lui. Il les rejoint souvent à Chatou et à Argenteuil. En 1878, il achète un premier voilier, L’Iris, pour participer à des régates. C’est lui qui donne à Signac le goût de la navigation à voile et ils remontent ensemble la Seine jusqu’à la Grande Jatte, île où Seurat travaille.

Canotiers ramant sur l’Yerres, 1877, coll part.

 

Comme sur le tableau qui vient d’entrer à Orsay, nous nous trouvons dans la barque des canotiers. Le peintre décrit soigneusement l’équipement :  les appuis pour les pieds, ainsi que les attitudes et les efforts des rameurs. Le soleil rend les bras éclatants et fait briller le bois de la barque.

Périssoires, 1878, Rennes MBA --- Périssoires sur l’Yerres, 1877, Milwaukee --- Baigneurs au bord de l’Yerres, 1878, coll part.

Les périssoires sont des sortes de canot, mesurant de 4 à 8 mètres selon le nombre de rameurs. Leur construction peu élaborée les rend instables et dangereux, ce qui a inspiré leur nom. Ces tableaux contiennent tous les principes de l’impressionnisme : reflets dans l’eau, petites touches, effets de lumière.

Après la mort de leur mère, la propriété de Yerres est vendue en 1879. Gustave et Martial achètent un terrain au Petit-Gennevilliers sur la rive gauche de la Seine, face à Argenteuil, et y font construire une maison. La propriété entièrement aménagée, comporte : la maison d’habitation typique de la région, en pierres meulières, un pavillon indépendant pour l’atelier, le jardin, la serre, la maison des jardiniers, un abri de jardin, un poulailler, une volière et un chenil.

La maison de l’artiste au Petit Gennevilliers, 1883, coll part.

Le pont d’Argenteuil et la Seine, 1883, Postdam. --- Le bassin d’Argenteuil, vers 1882-1883, coll part. --- La Seine et le pont du chemin de fer d'Argenteuil, 1885-1887, New York.

 

Richard Gallo et son chien au Petit Gennevilliers, 1884, coll. part.

Richard Gallo, ami du peintre, journaliste, se promène avec son chien sur la berge de la Seine en face d’Argenteuil, tout près de la maison des frères Caillebotte. Remarquable composition fondée sur la juxtaposition de lignes horizontales (les berges et le chien) et de lignes verticales (Gallo, les maisons et les arbres). Au premier plan, Gallo et le chien avancent, ils sont en mouvement, à l’arrière-plan, les maisons et les arbres sont immobiles. Le coloris aux harmonies claires, bleues, blanches et vertes est très subtil. Le maître et son chien, traités dans une harmonie de noir, s’en détachent. Les taches claires qui apparaissent sur le costume de Gallo résultent de la décoloration du tissu sous l’effet de la lumière du soleil filtrée par le feuillage des arbres, spécialité de Renoir. Superbe travail aussi sur les reflets des immeubles dans l’eau.

Les Soleils. Jardin du Petit-Gennevilliers, vers 1885, Orsay. --- Dahlias cactus rouges, 1892, coll part.---Le jardin de dahlias au Pt-Gennevillers, 1893 (coll part). --- Orchidées 1893, coll part.

Fasciné par l’horticulture, Caillebotte fait de son jardin un laboratoire, une œuvre d’art, c’est un jardin savant. Il y installe des arroseurs automatiques, cultive des plantes originales, correspond beaucoup avec Monet. A sa mort, on y recense 350 plantes.

 

Nouvel exemple de composition audacieuse, dans un arrière-plan presque entièrement vert, ces iris bleus vus en contre-plongée de très près, une digitale au milieu. Les tiges sont coupées par le bord du tableau. Cette très jolie harmonie en bleu et vert est à peine réchauffée par quelques touches jaunes. La touche est libre : empâtements pour les iris, longs coups de pinceau pour les feuilles et coups de pinceau courts, en tirets parallèles et verticaux pour le feuillage du fond.

Iris bleus, jardin du Petit-Gennevilliers, 1892, coll part. 

Caillebotte dessinant des plans de bateau.

La maison du Petit-Gennevilliers se trouve non loin du Cercle de la Voile de Paris et à proximité d’un chantier naval avec lequel il collabore, dessine les plans de 22 voiliers et expérimente plusieurs innovations. Il devient vice-président du Cercle de la Voile, s’investit aussi à la Société des régates de Cabourg. Il participe à des compétitions nautiques, des régates, traverse la Manche. Il séjourne souvent à Trouville. Gustave Caillebotte a eu 32 bateaux et 14 voiliers.

Bateaux au mouillage sur la Seine à Argenteuil, 1892, coll part. --- Chemin montant, 1881, Postdam. --- Villas à Trouville, 1884, Cleveland. --- Régate à Trouville, 1884, Ohio.
Bateaux au mouillage sur la Seine à Argenteuil, 1892, coll part. --- Chemin montant, 1881, Postdam. --- Villas à Trouville, 1884, Cleveland. --- Régate à Trouville, 1884, Ohio.
Bateaux au mouillage sur la Seine à Argenteuil, 1892, coll part. --- Chemin montant, 1881, Postdam. --- Villas à Trouville, 1884, Cleveland. --- Régate à Trouville, 1884, Ohio.
Bateaux au mouillage sur la Seine à Argenteuil, 1892, coll part. --- Chemin montant, 1881, Postdam. --- Villas à Trouville, 1884, Cleveland. --- Régate à Trouville, 1884, Ohio.

Bateaux au mouillage sur la Seine à Argenteuil, 1892, coll part. --- Chemin montant, 1881, Postdam. --- Villas à Trouville, 1884, Cleveland. --- Régate à Trouville, 1884, Ohio.

Autoportrait au chevalet, 1879-1880, coll part.

 

Gustave Caillebotte meurt en 1894 à l’âge de 46 ans. Son legs provoque des querelles entre les tenants de l’académisme (en particulier William Bouguereau) et ceux de l’impressionnisme. Finalement, les Musées Nationaux acceptent en 1896, une partie seulement des tableaux de sa collection parmi ceux de Degas, Manet, Millet, Monet, Pissarro, Renoir, Sisley, Cézanne !

Passionnante, comme toujours, Catherine nous a permis de découvrir cet artiste au grand cœur, oublié pendant longtemps, qui excellait dans tout ce qu’il entreprenait, philatélie, horticulture, nautisme… 

Elle rappelle qu’en 2024, nous célèbrerons les 150 ans de l’impressionnisme : c’est en 1874 qu’a eu lieu la première exposition du groupe. L’association Les Arts 57 s’associera bien sûr à cet anniversaire dans sa programmation.

 

Bibliographie :

Marie Berhaut, Caillebotte, sa Vie et son Œuvre. Catalogue Raisonné des Peintures et Pastels, Paris, La Bibliothèque des Arts, 1978, 270p.

Fabienne Boursier, La représentation du jardin dans l’œuvre de Gustave Caillebotte : une peinture documentaire entre illustration et art, mémoire de M1, Université Paris I Panthéon-Sorbonne, 2013-2014, 101 pages.

Sophie Monneret, L’impressionnisme et son époque, Paris, Robert Laffont, 1987, 2 vol. 997p. et 1185p.

 

Prochaine rencontre avec Les Arts 57 :

l'AG de l'association Les Arts 57,  le mardi 21 mars à 18h30

salle polyvalente, à l'entrée de Saulny.

lesarts57@gmail.fr   ou tél.   03 87 32 05 03 

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